Visé par une enquête préliminaire ouverte fin mars et portant sur des emplois fictifs parmi des collaborateurs de députés européens, Jérôme Lavrilleux, ancien conseiller général de l'Aisne, parle de "dénonciation calomnieuse".
Les député européen Jérôme Lavrilleux fait partie des parlementaires concernés par l'enquête sur les emplois fictifs d'attachés parlementaires basée sur des allégations de l'élue FN Sophie Montel. Il parle de "dénonciation calomnieuse auprès du procureur de Paris" qui ne "reposent absolument sur rien".
"J'ai un assistant parlementaire qui a un mandat de conseiller municipal qui n'est même pas dans ma circonscription : il ne peut pas y avoir de conflit d'intérêt. De plus, il n'est même pas rémunéré", se défend le député européen et ancien conseiller général de l'Aisne.
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18 autres eurodéputés français, de diverses familles politiques, sont visés par cette enquête préliminaire du Parquet de Paris pour "abus de confiance".