L'idée de l'administration pénitentiaire de mettre des cours de canne de combat au programme des activités est loin de réjouir les syndicats représentants les surveillants de prison. Ils s'inquiètent de son financement.
Pour les représentants des surveillants du centre pénitentiaire de Liancourt, il est hors de question de proposer une activité comme celle-ci. L'apprentissage d'un tel sport de combat ne peut qu'entraîner plus de violence au sein de la prison.
Autre inquiétude, le financement de ces cours.
Les cannes de combat seraient financées par un fonds antiterroriste.
reportage de Christelle Juteau, Yves-Olivier Ebe et Dominique Choisy avec Emilie Théret, secrétaire locale de l'UFAP-UNSA Justice ; Alain Jégo, directeur interrégional de l'administration pénitentiaire ; Giovanni Boggia, entraineur Boxing club olympique de Pont-Sainte-Maxence