Les salariés d'AIM sont pessimistes quant au prêt de 2,5 millions d'euros qu'ils réclament à l'état. Ce matin, les responsables syndicaux des abattoirs seront autour de la table avec des élus au conseil général de la Manche, avec le conseil régional et avec la préfecture. 

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"On enlève les chauffeurs de la préfète, les chauffeurs du conseil général et on les a les 2,5 millions (d'euros, ndlr). Mais non, on préfère supprimer 200 emplois. Et voilà le système français", a déclaré Johnny Poisnel, délégué CFDT de l'abattoir AIM, à nos confrères de l'AFP hier, au milieu de ses collègues dans l'attente d'une décision de justice.Vendredi 27 mars, les salariés ont présenté leur projet de reprise partielle aux juges du tribunal de commerce de Coutances. La décision a été reportée à mardi prochain. 
Les employés des abattoirs sont pessimistes quant à leur demande de prêt de 2,5 millions d'euros qui devait financer leur société coopérative. Pourtant, hier, la Banque Publique d'Investissement leur avait fait un courrier expliquant qu'elle étudiait leurs requête.
Ce matin, à 11 heures 30, les responsables syndicaux seront autour de la table pour échanger à ce sujet avec les élus du Conseil Général et Régional ainsi qu'avec la préfecture. C'est la réunion de la dernière chance pour les AIM.

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