A l'occasion de la journée internationale de prévention du 25 novembre, une convention a été signée à Lisieux par le parquet, la préfecture, et des associations.
Jusqu'ici, lorsqu'une femme est victime de violences, l'usage veut qu'elle soit prise en charge, et parfois accueillie dans un foyer : dans ce cas, l'éloignement du domicile vaut protection. La convention signée à Lisieux envisage une autre logique : dès les premiers signalements, ce sont les auteurs de violences qui devront faire l'objet d'un suivi médico-psychologique et qui seront éloignés du foyer.
Les explications d'Alexandra Huctin et Emilien David :
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