La baisse des contaminations se poursuit nettement. Dans le département de l'Eure, la diminution est nettement plus faible. 40% des Normands ont reçu au moins une dose de vaccin.
Le taux d'incidence (activité épidémique) des contaminations descend par paliers : En Normandie : -31,29 % en une semaine (déjà une baisse de moins 33% la semaine passée) . Le taux est de 70,7 cas pour 100.000 habitants. (c'était 102,4 le 1er juin).
Dans la région, l'Orne est le département où la baisse est la plus importante, dans l'Eure, le virus circule davantage.
- Calvados -37,31 %
- Seine-Maritime - 36,62 %
- Eure -14,74 %
- Manche -23,08 %
- Orne : 39,67 %
/regions/2021/06/09/60c0590978e47_carete_tax_covid-5345686.jpg){kind=icon}
Soixante-cinq clusters, foyers épidémiques, sont dénombrés. (dont 22 dans l'Eure et 21 en Seine-Maritime). Quarante-quatre sont dans des établissements scolaires ou universitaires et dans des entreprises.
La situation dans les hôpitaux
En Normandie, 895 personnes demeurent hospitalisées pour des complications du Covid. C'est 142 ,de moins qu'il y a une semaine. 126 patients ont dû être placés en réanimation, (14 de moins en une semaine).
"Le taux d’occupation des lits de réanimation par des patients COVID est désormais de 52,5% (sur la capacité initiale)"précise l'agence régionale de santé de Normandie.
Depuis le début de l'épidémie 4243 Normands sont décédés du virus à l'hôpital ou en EHPAD.
40% des Normands ont reçu au moins une injection de vaccin
La Normandie compte 3.300.000 habitants.
- 1 521 985 primo-injections réalisées en Normandie
- 745 760 vaccinations complètes
(soit 2 204 684 injections au total)
Vaccination par classes d'âge des personnes ayant reçu une injection ou deux
- 82,3% des 75 ans et plus
- 80,6 % des 65-74 ans
- 65,7 % des 55-64 ans
- 20,6 % des – de 55 ans
C'est dans l'Orne que le pourcentage de vaccinés est le plus élevé ( 50,7%), et dans l'Eure le moins élevé ( 41%)
Carte de Santé Publique France
Les opérations de dépistage se poursuivent. Pour repérer les mutations du virus, l'agence régionale de santé explique : "de nouvelles modalités de suivi et de criblages autour des mutations significative et non plus des variants sont en cours de déploiement".
