Le collectif corrèzien regroupe 12 associations, toutes issues de régions , comme le limouisn, où l'on a exploité l'uranium par le passé. Car les mêmes problèmes existent dans ces terriroires: comment gérer les anciennes mines, leurs déchets et la radioactivité qu'elles continuent de générer?
En 2009 et 2010, la société Areva a été obligée de survoler ses anciens sites miniers et les alentours pour définir les zones encore radioactives aujourd'hui, obligeant l'entreprise à décontaminer.
Trois ans plus tard, le collectif mines d'uranium s'est formé, car la situation reste floue. Ce dernier désire voir ces cartographies réalisées par Areva, pour connaître les endroits à éviter.
Le collectif se déplace également sur les routes limousines afin de relever le taux de radioactivité, leur réservant souvent, selon eux, de mauvaises surprises.
Douze autres associations à travers la France sont dans ce cas. Aujourd'hui, ils souhaitent une réparation d'Areva.