Des journalistes du Courrier de l'Ouest échappent de peu à l'attentat de Tunis

Nouvel épisode dans l'horreur après l'attaque sanglante perpétrée ce mercredi contre le musée du Bardo à Tunis. Le bilan communiqué par les autorités fait état de 19 morts dont 17 touristes. Des confrères du Courrier de l'Ouest étaient sur place 10 minutes avant la fusillade. Témoignage.

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Même si l'attaque menée mercredi contre le musée du Bardo, en plein centre deTunis, qui a fait au moins 19 morts dont 17 touristes, n'a pas encore été revendiquée, elle porte en tous points la marque des islamistes armés qui ont, ces derniers mois, multiplié les menaces contre les autorités tunisiennes et une de ses premières sources de devises, le tourisme.

A l'évidence, c'est l'un des lieux touristiques les plus symboliques de la capitale tunisienne qui était visé puisque le musée du Bardo est particulièrement fréquenté. C'est là que se promenaient d'ailleurs plusieurs confrères du journal "Le Courrier de l'Ouest" qui se trouvaient sur place une dizaine de minutes avant que les deux assaillants ouvrent le feu avec des kalachnikovs.

Ecoutez ci-dessous le témoignage de Patrice Guillier, le secrétaire général de la rédaction du Courrier de l'Ouest qui participait à un voyage organisé par le Comité d'Entreprise de son journal.
Itw : Marie-Pierre Gressant


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