Après sa phrase polémique où il semblait demander à François Hollande de "la fermer", Alain Rousset a déclaré mercredi 2 novembre que ses propos ont été "mal interprétés", tout en regrettant "le côté excessif de ce mot".
"Je regrette le côté excessif de ce mot", a déclaré Alain Rousset, mercredi 2 novembre. À l'occasion de l'inauguration du quatrième Salon des élus locaux de la Nouvelle-Aquitaine (Selaq), le président de la région est revenu sur ses propos à l'encontre de François Hollande, qu'il juge "mal interprétés".
Mercredi 2 novembre, Alain Rousset a déclaré que ses propos ont été "mal interprétés" suite à la polémique autour de sa phrase à l'encontre de François Hollande.
Un peu plus tard, il s'est à nouveau exprimé, en regrettant notamment "le côté excessif de ce mot" :
Alain Rousset revient sur sa phrase polémique où il semblait dire à François Hollande de "la fermer". Il délcare regretter des propos extrêmes.
Samedi 29, à propos de l'inversion de la courbe du chômage et le retour de la croissance, il déclarait en effet :
Celui qui s'exprime régulièrement là-dessus depuis cinq ans devrait la fermer, car il ne nous a pas aidés.
Une phrase pour le moins ambigüe, qui semblait aller à l'encontre du chef de l'Etat. Mardi 1er novembre, Alain Rousset s'est cependant défendu dans un communiqué de presse d'avoir attaqué François Hollande, en déclarant que "le fond a pris le pas sur la forme".