Enlevée par les turcs et placée dans un sérail à Istanbul, Mademoiselle Aïssé voit son destin changer quand un diplomate Charles de Ferriol l’achète et l’emmène à Paris.
C’est dans la capitale, que la « nymphe de Circasssie » rencontre le chevalier d’Aydie. Ce dernier originaire du Périgord tombe sous le charme de la belle et l’invite régulièrement en son château de Mayac, « véritable petit Versailles ».
La correspondance des deux amants réjouira les premiers romantiques. « Je ne veux être que ce que vous voulez que je sois », les derniers mots d’Aydie à son amie mourante.