Après la diffusion de la vidéo choc de l’association L214 sur les conditions d’abattage des animaux à Limoges, jeudi 3 novembre, le collectif limousin d’action militante pour les animaux (CLAMA) entame également une action judiciaire.
Le CLAMA a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République de Limoges pour actes de cruauté contre les animaux.« Nous nous portons partie civile de manière symbolique. Nous souhaitons que les choses changent et que la vidéo surveillance soit installée dans les abattoirs » indique Sylvie Ebenstein-Couhault, porte parole de l’association qui déplore que l’abattage de vaches gestantes soit légale en France.
Cette plainte fait suite à celle de l’association L214 qui lutte contre la maltraitance animale.
Les associations attendent de connaître la décision du parquet de Limoges et l’éventualité de poursuites.