Ce loisir se développe depuis quelques années. Le but : résoudre une énigme ou sortir d'une pièce en moins d'une heure. Voici les coulisses, mais sans la solution…
Avec nous, dix employés de banque découvrent ce jour-là l'escape game. Répartis en deux équipes, ils s'affrontent en duel pendant une heure.
Ils sont plongés en 1976. Dans un hôtel limougeaud, sur les traces d'un braqueur de banque, ils doivent trouver un code pour ouvrir un coffre-fort.
Les joueurs ne sont pas totalement livrés à eux-mêmes. Un « Game Master » est là pour les aider, ni trop, ni trop peu.
Cet ancien boulanger veille avant tout à la sécurité de ses clients et à ce que rien ne soit cassé.
De son côté, après la partie, le responsable de l’escape game doit tout ranger. Cela prend une dizaine de minutes, car il connaît bien son jeu.
Le scénario a été acheté tout fait à un exploitant. Il a ensuite fallu chiner les meubles, en fonction d’un cahier des charges.
Chaque joueur a déboursé 20 € pour s'évader.
Parfois, ce sont les employeurs qui payent la note pour créer de la cohésion, voire même pour recruter...