Les journaux de ce mercredi ne sont pas vraiment partagés sur les chances de voir un jour des studios de cinéma à Toulouse-Francazal après le rejet du dossier par l'Etat : pour la presse, c'est plutôt "clap de fin". Petite revue des journaux.
L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter.
Notre politique de confidentialité
Après le rejet par l'Etat de l'ensemble des offres présentées pour la cession de deux terrains sur l'ancienne base aérienne de Toulouse-Francazal, la presse est plutôt encline à verser dans la fin de l'aventure pour le projet de studios de cinéma portée par Bruno Granja et les américains de Raleigh.
La palme à Libération qui publie son article sous le titre "A Toulouse, les studios de cinéma se font baser".
Il y est notamment question de la "surcapacité des studios français" qui voyaient d'un mauvais oeil arriver un nouveau concurrent.
Pour
20 minutes, c'est le crash : "
Film catastrophe pour les studios", les porteurs de projet ne s'attendaient pas à un rejet aussi rapide avant même l'examen complet de leur dossier.
"
Clap de fin pour Hollywood/Garonne" aussi pour
Métro. Le quotidien gratuit ne consacre qu'un tout petit article à l'annonce spectaculaire du rejet des dossiers.
La Dépêche du Midi reste très informative dans son titre : "
Francazal : Le projet de studios de cinéma rejeté". Mais donne à nouveau la parole à Bruno Granja, le promoteur du projet, qui affirme dans les colonnes du quotidien régional avoir décidé de représenter le projet lors du prochain appel d'offres.
Enfin pour
Direct Toulouse, c'est "
le retour à la case départ", puisque de nouveaux appels d'offres devront être lancés par l'Etat et que dans ce scénario, tout le monde perd du temps.