Quatre personnes avaient été interpellées et convoquées pour vérifications ce jeudi matin 9 mai dans le cadre de l'enquête sur le viol d'une joggeuse à Saint-Alexandre (Gard). 3 sont ressorties libres, le quatrième homme est toujours en garde à vue.
Le procureur de la République de Nîmes, Eric Maurel, confirme que trois des quatre personnes interpellées et convoquées par les gendarmes de Bagnols-sur-Cèze ce 9 mai 2019 au matin sont ressorties libres après leur audition pour vérifications dans le cadre de l'enquête sur le viol d'une joggeuse à Saint-Alexandre, dans le Gard. Un quatrième homme est quant à lui en garde à vue.
Portrait-robot
Les faits se sont produits le 22 avril dernier. Une quadragénaire effectuant son jogging avait été sexuellement agressée par un homme. Un portrait-robot avait pu être établi et diffusé d'après la description qu'elle en avait faite.
Un ADN masculin
Les enquêteurs disposent aussi d'un ADN masculin retrouvé sur les vêtements de la victime. Celle-ci a décrit un homme âgé de 25 à 30 ans, mesurant 1 mètre 80 à 1 mètre 85 et d'allure sportive. L' homme, qui était aussi en train de courir, l'avait faite chuter au sol et lui avait imposé un rapport sexuel avant de s'enfuir. On fait le point avec notre journaliste Josette Sanna.
