Après le refus du conseil des Prud'hommes de Toulouse de reconnaître l'illégalité de leurs licenciements, les anciens salariés de Freescale se retrouvent devant la cour d'appel. Ils réclament des dommages et intérêts.
Ils appelent ça une mascarade...
Les anciens salariés de Freescale sont très critiques à l'égard du Conseil des Prud'hommes de Toulouse qui, en 2016, avait refusé de reconnaître l'illégalité de leurs licenciements.
Ils sont à nouveau devant la justice, mercredi 26 avril.
C'est la cour d'appel de Toulouse qui va examiner l'affaire.
Ancien site Motorola, spécialisée dans la production de composants électroniques, Freescale employait 800 salariés quand la direction américaine avait décidé de fermer le site toulousain jugé obsolète.
300 personnes sont parties volontairement mais 500 salariés ont été licenciés en 2012.
Une centaine de salariés réclame aujourd'hui des dommages et intérêts.
Voir le reportage d'Emmanuel Wat, de France 3 Occitanie :