A la découverte des tours capitulaires de Toulouse

Il faut prendre un peu de hauteur pour les découvrir, dans le ciel toulousain. Souvent interdites au public, les tours capitulaires dominent les toits. On en compte une centaine dans la ville rose, vestiges de la Renaissance et d'un riche passé. 

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Elles ornent les plus beaux hôtels particuliers de Toulouse depuis près de 800 ans. Pointues, rondes ou carrées, les tours capitualaires dominent les toits de Toulouse depuis le moyen-âge. Elles doivent leur nom au Capitouls, les riches magistrats qui dirigèrent la ville de 1147 à 1789.  Mais on les appelle aussi tours d'orgueil car elles étaient construites pour montrer la richesse de leurs propriétaires. 

Un symbole de richesse et de réussite sociale

Avec l'essor du pastel aux XVème et XVIème siècle, Toulouse devient la plate-forme du commerce de la cocagne. Un âge d'or qui permet aux commerçants toulousains de s'enrichir et de construire de véritables petits palais. Des hôtels particuliers où la tour symbolise alors la réussite sociale et la richesse. "Plus riche était l'homme, plus haute était sa tour" explique ainsi une guide touristique toulousaine.

Une centaine de tours encore présentes aujourd'hui​

On ne les voit pas toujours, quand on parcourt les rues de Toulouse. Mais en prenant de la hauteur, on peut en compter près d'une centaine dans le ciel toulousain. Bien cachées, pour la plupart privées, elles sont le plus souvent interdites au public.
Avec son style architectural unique, mélange de gothique et de style Renaissance, la tour de l'hôtel d'Assézat est sans doute la plus belle d'entre elles. Construite en 1555 par les plus riche marchand pastelier de l'époque, Pierre d'Assézat, elle est la plus haute de la ville rose, avec ses 26 mètres. 

Amélie Poisson et Jean-Pierre Duntze nous emmènent à la découverte de ses belles dames inaccessibles :

 

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