Des perquisitions en série ont eu lieu à Toulouse visant des boutiques de cannabidiol, autrement nommé "cannabis light". Des produits ont été saisis pour vérifier leur conformité avec la loi. Les boutiques ont pour l'heure dû baisser le rideau.
C'est un produit qui connaît un joli un succès commercial, mais qui flirte avec la légalité.
Le cannabidiol, autrement nommé "cannabis light", embarrasse les pouvoirs publics.
Comme un peu partout en France, à Toulouse, les perquisitions se sont multipliées.
Trois boutiques vendant des produits au CBD (cannabidiol) ont fait l'objet de saisies ce mercredi.
Ce dérivé du cannabis peut contenir peu ou pas de THC, mais sans effet psychotrope.
Ces magasins sont sur la sellette depuis que la ministre de la Santé a rappelé la règle du zéro THC pour ces produits.
Les gardes à vue de leurs gérants ont été levées mais les magasins, sous scellés, restent fermés, au moins le temps que leurs marchandises soient analysées.
Voir le reportage de François Ollier et de Christian Bestard :