TEMOIGNAGE. "C'est horrible, j'arrive sur place et je trouve mon âne décapité" ses animaux atrocement mutilés, il va déposer plainte

Daniel Dallarmie, habitant de Fronton en Haute-Garonne, passionné d'animaux, est encore sous le choc après la découverte de deux de ses animaux mutilés le jeudi 26 octobre. Une enquête est en cours.

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"Le matin, quand je me suis levé et que je n'ai pas vu mon âne et mon poney avec les autres, j'ai levé les yeux et j'ai trouvé l'âne, l'oreille décapitée, et le poney dans la cabane au fond avec les parties sectionnées". Daniel Dallarmie, habitant de Fronton, en parle encore sous le coup d'une vive émotion, comme il s'est confié aux journaliste de France 3 Occitanie, Christine Ravier et Laurence Boffet :

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Daniel Dallarmie, habitant de Fronton en Haute-Garonne, passionné d'animaux, est encore sous le choc après la découverte de deux de ses animaux mutilés le jeudi 26 octobre. Une enquête est en cours. ©Christine Ravier - Laurence Boffet - FTV

Il a découvert son poney et un de ses ânes morts le matin du 26 octobre. Les animaux étaient mutilés, l'un avec les parties génitales coupées et l'autre, l'oreille sectionnée.

"Ça fait six ans que j'ai des animaux, jamais je n'aurais pensé vivre ce que j'ai vécu ce matin-là, témoigne-t-il auprès de notre équipe de France 3 Occitanie. C'est horrible quand j'arrive sur place et que je trouve mon âne décapité, ainsi que le poney, ça fait mal. Je ne sais pas comment on peut faire un acte comme ça sur un animal assez faible. Je ne comprends pas. On ne trouve pas les mots pour dire ce que je peux ressentir par rapport à ça."

Daniel Dallarmie adore les animaux. Il en a un grand nombre dont il s'occupe avec une attention soutenue. Depuis ce matin du 26 octobre, il est sur le qui-vive. "On a ouvert la porte du hangar pour qu'ils puissent rentrer la nuit. On va installer deux caméras, infra  rouge, la nuit. Je ne suis pas tranquille. J'ai encore trois ânes, je n'aimerais pas que ça recommence", explique-t-il. 

Le propriétaire des animaux a porté plainte auprès de la gendarmerie de Fronton. Une enquête est en cours.

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