A Toulouse et dans tout Midi-Pyrénées, des milliers de manifestants contre "la casse du service public"

Des retraités, des professeurs, mais aussi des infirmières et des employés de supermarché dans la rue. A Toulouse, à Auch, à Cahors ou à Albi, par exemple, la marche contre "la casse du service public" a rassemblé des manifestants unis par leur colère contre le gouvernement.
 

Des milliers de personnes ont répondu à l'appel de plusieurs syndicats (CGT, Force ouvrière, Solidaires, l'Unef, la FIDL et l'UNL) à Toulouse (entre 5000 selon les organisateurs et 3700 selon la police)  mais aussi dans toutes les grandes villes de Midi-Pyrénées.         
Les manifestants de tous âges et tous horizons partagent la même colère "contre la casse du service public", comme le proclament plusieurs pancartes dans la foule.
"Quand je vois qu'on va verser toujours plus de dividendes aux actionnaires alors que l'hôpital, l'école, les chômeurs trinquent, je suis hors de moi!",  résume une chercheuse au CNRS.
Vidéo : à Toulouse, le reportage de Geoffrey Berg et Jean-Pierre Duntze

Des centaines de retraités 
Parmi les déçus du gouvernement, les retraités ont rassemblé des centaines de manifestants. La revalorisation des retraites était au coeur de leur mobilisation, mais aussi, pour certains d'entre eux, vêtus de gilets la reconnaissance de leur maladie professionnelle.

Dans tout Midi-Pyrénées
A Montauban, les manifestants se sont rassemblés devant l'hôpital avant de défiler, ils étaient aussi plus de 2000 à Albi (photo)


A Tarbes,environ 1500 manifestants se sont déplacés de La Bourse du Travail à la Place Verdun.

A Pamiers ils étaient environ 1400 tandis que les 500 manifestants à Auch ont reçu les renforts de quelques lycéens du Garros

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité