Après sa première série environnementale du côté de la Bretagne, l'auteur Thierry Colombié se rend dans les Pyrénées avec "La malédiction de l’ours", Tome 1, paru dans la collection Polar Vert de l’éditeur Milan. Nous l'avons fait lire à Anna, collégienne toulousaine de 12 ans. Critique.
"La malédiction de l’ours", paru dans la collection Polar Vert de l'éditeur Milan, est l’histoire d’un mystérieux commando qui a enlevé un ourson dans les Pyrénées. On y retrouve Klervi l’héroïne de la première série de ce polar environnemental de Thierry Colombié qui traitait des algues vertes et du trafic de Civelle en Bretagne.
Nous avons demandé à Anna, jeune Toulousaine de 12 ans, de lire cet ouvrage et d'en faire une critique. La voici.
Critique
"En premier, j’aimerais remercier Thierry Colombié parce que il nous fait découvrir et aimer la nature dans son roman. Je trouve qu’écrire un roman bien raconté sur la nature nous sensibilise aussi un peu à elle.
Quand j’ai lu les premières phrases du roman, j’étais avec Bulle, Peyo et Klervi, dans la montagne, en pleine randonnée, j’étais comme plongée dans l’histoire. Les personnages sont aussi attachants que le lieu où ils sont décrits. Le suspense, les rebondissements et aussi des moments émouvants. Je pense que ce livre conviendra à toutes les personnes qui le liront. Je n’ai pas de vrais critiques à faire sur ce livre car je l’ai trouvé complet.
Ce que j’ai trouvé le plus intéressant dans "La malédiction de l’ours" c’est que le personnage principal est une fille (Klervi) et que l’auteur de ce roman, Thierry Colombié est un homme. J’ai beaucoup aimé le fait qu’un homme écrive et se mette à la place d’une femme. J’ai trouvé ça très moderne et cela change des livres qu’on a l’habitude de lire."
L'interview d'Anna
Qu’est-ce qui t’a plu dans l’histoire ?
Les rebondissements tout d’abord. Il se passe toujours quelque chose. Au fil de leur randonnée, les héros découvrent de plus en plus de mystères. Ce qui renforce aussi leur amitié même si Klervi ne peut véritablement faire confiance dans son enquête qu’à son amie, Bulle.
Est-ce que tu as appris des choses ?
Oui sur la nature que j’ai redécouvert avec ce livre. Ça m’a donné envie de parcourir un peu plus les Pyrénées en randonnée. J’ai aussi appris qu’on ne pouvait voir des ours que très rarement.
Et sur la chasse ?
Le personnage de Peyo chasse parfois avec son père. Ça ne l’empêche pas de s’entendre avec Klervi et Bulle malgré leurs divergences. Son personnage est tout aussi attachant que ceux des deux héroïnes. Un rebondissement va faire qu’il va se retrouver dans un entre-deux compliqué. Mais je ne veux pas trop en dire pour les futurs lecteurs.
(Avec Ann N.)