La délégation sétoise avait rendez-vous au rectorat de Montpellier. Mais les parents d'élèves, faute de réponses à leurs questions, ont retenu l'adjoint de l'inspecteur d'académie dans son bureau durant près d'une heure, pour faire entendre leurs revendications.
En cause, les fermetures de 5 classes en primaires et maternelles, dans 5 écoles de Sète, suite à des baisses d'effectifs, à la prochaine rentrée.
Vers midi, ils ont quitté les lieux avec la promesse que le dossier de l'école Louise Michel, sur l'île de Thau, soit examiné sous 10 jours. Dans cette école difficile, la fermeture d'une classe ferait passer le taux d'élèves par classe à plus de 30.
Pour les 4 autres écoles de Sète, le sort des fermetures semble scellé.