Octobre rose, un joli nom, pour adoucir l'image d'une maladie encore aujourd'hui victime de bien des idées reçues. Comme chaque année, il s'agit d'informer sur le cancer du sein. L'occasion, pour nous, de mettre en lumière le travail de l'Institut du Cancer de Montpellier.
Un centre à la pointe de l'innovation en matière de traitement, mais aussi d'accompagnement des malades : on y étudie actuellement sur les effets du sport et de la nutrition.
Cette étude se déroule sous forme d'atelier proposé au patients. Elle vise à démontrer que l'activité physique est la meilleure façon de combattre les effets secondaires des traitements et notamment la fatigue.
160 patientes participent à cette enquête. Certaines font jusqu'à 2 heures 30 d'activité physique par semaine, tandis que d'autres n'en font pas.
L'étude compare l'état de fatigue et la qualité de vie des deux groupes de femmes.
L'étude activité physique et diététique adaptée au cancer montre une amélioration de la qualité de vie et une meilleure tolérance aux traitements.
Les patientes ont aussi le sentiment de ne pas être passives face à la maladie et c'est peut être le plus important.