Trois personnes, deux hommes et une femme d’une vingtaine d’années ont été interpellées à Montpellier. Elles sont soupçonnées de faire partie d’un réseau de revente de vêtements contrefaits. Selon les gendarmes, près de deux tonnes de vêtements auraient été vendus.
Vente sur place et par livraison
L’enquête débute en septembre 2020 lorsque le groupe cyber de la section de recherches de Montpellier détecte sur les réseaux sociaux d’importantes ventes suspectes de vêtements de grandes marques. Lors des investigations, les enquêteurs découvrent que trois personnes utilisent un box de stockage, et y reçoivent des clients pour vendre les vêtements contrefaits.
D’autres parts, des articles sont vendus et livrés par l’intermédiaire du réseau postal dans toute la France.
Flagrant délit
C’est ce mardi 26 janvier, lors d’une nouvelle livraison de marchandises contrefaites, que les gendarmes vont agir : deux hommes et une femme âgés d’une vingtaine d’années sont venus réceptionner la marchandise, ils ont aussitôt été interpellés.
"Ces trois personnes originaires de l’Hérault se faisaient livrer la marchandise contrefaite depuis la Bulgarie", indique la gendarmerie nationale.
Deux tonnes de vêtements vendues
Au total, les gendarmes révèlent que deux tonnes de contrefaçons ont été vendues depuis le mois de février 2020. Lors de leur opération ils ont saisi 210 kilos de vêtements contrefaits. Les trois personnes ont été convoquées par un officier de police judiciaire au mois de juin 2021.