La région connaît un solde migratoire en forte augmentation. Le manque de logements sociaux est patent.
La Fondation Abbé Pierre tire la sonnette d'alarme
Selon la Fondation Abbé Pierre, 75 % des habitants du Languedoc-Roussillon pourraient prétendre à un logement social. Elle tire la sonnette d'alarme sur les problèmes de mal-logement.
Selon la Fondation Abbé Pierre, 75% de la population du Languedoc Roussillon pourrait prétendre au logement social. Le loyer est souvent le premier poste du budget des familles. Certains ménages y consacrent même la moitié de leurs revenus.
Pour la fondation s'attaquer au problème, est affaire de volonté politique.
En dehors des villes de Nîmes et Montpellier, la région propose seulement 10% de logements sociaux. C'est largement insuffisant au regard des besoins.
Elément aggravant : toutes les couches sociales sont maintenant touchées, des travailleurs pauvres jusqu'aux classes moyennes. Pour les héritiers de l'abbé Pierre, le logement n'est plus un abri mais un facteur d'insécurité sociale.