C'est la seconde fois en 7 mois, que le journal américain vante notre capitale régionale dans ses colonnes.
Le journaliste Seth Sherwood est tombé amoureux de Montpellier. Déjà dans l'hiver, début janvier, il classait la capitale du Languedoc-Roussillon parmi les 45 destinations prioritaires au monde à ne pas manquer pour les touristes américains "tendances". Le 9 août, il proposait aux lecteurs de l'illustre quotidien "36 hours in Montpellier, France".
Montpellier, ce sont des bâtiments cools, le tramway le plus sexy d'Europe, une mairie énorme monolithique et très bleue, des terrasses pour siroter un apéritif anisé, une centre piéton réjouissant pour les marcheurs, une ville tournée vers l'avenir.
Sans oublier Soulages et la musée Fabre ou encore l'exposition Caravage.
Montpellier, ville merveilleusement idéale, le tout sous le soleil.
Bravo Seth Sherwood et surtout merci. Mais peut-être que les lecteurs du NYT, pourraient aussi entendre parler, des embouteillages, de la saturation de l'A.9, de la propreté de la ville de plus en plus aléatoire, des travaux permanents, du bruit, de la hausse de la délinquance, des prix des loyers, des quartiers populaires moins touristiques que l'écusson, de l'afflux de SDF, de l'engorgement des hôpitaux, des lycées et collèges surchargés, du manque de maison d'accueil pour personnes âgées, du taux de chômage, des taxes de foncier et d'habitat parmi les plus importantes de France.
Il est vrai que tout cela n'est pas propre à Montpellier et surtout est moins "glamour" pour les touristes américains en visite sur le vieux continent.
Retrouvez l'article de Seth Sherwood dans le New York Times ===> cliquez ici Retrouvez le site de photos du New York Times ===> cliquez ici