Diffusée sur l'émetteur de France 3 Pays Catalan de 7h à 9h depuis le 18 janvier 2022, du lundi au vendredi, la matinale filmée de France Bleu Roussillon accompagne les habitants des Pyrénées-Orientales. Radio leader dans le département, elle se veut le reflet de la vie des Catalans.
"Notre mission, notre passion, tout converge vers la proximité la plus grande possible. C’est-à-dire être un miroir de notre département, que nos auditeurs quand ils nous écoutent, nous reconnaissent, et reconnaissent leur quotidien, leur vie, qu’on parle de sujets qui les concernent", explique Christine Arribas, directrice de France Bleu Roussillon.
Suzanne Shojaei, Simon Colboc (journalistes) et Sébastien Giraud (animateur) sont aux manettes pour réveiller les auditeurs.
Je suis intimement convaincu que notre rôle est d’apporter de la vie
Sébastien Giraud, animateur France Bleu Roussillon
"L’idée c’est d’avoir une équipe sympa qui apporte de l’information mais pas seulement, qui apporte surtout une présence, et quelque chose de très important pour moi : c’est de la vie. Nous, on leur apporte de l’info mais aussi du soleil. Je suis intimement convaincu que notre rôle est d’apporter de la vie", assure Sébastien Giraud.
Cette rentrée se fait sous le signe de la continuité avec quelques touches de nouveauté. Comme la chronique d'Hélène Legrais, l'historienne de la station, qui revient sur une actualité passée dans les "PO". Egalement, un rendez-vous quotidien sur un marché du département en collaboration avec la chambre d'agriculture. Un commerçant ou un producteur est à l'antenne tous les matins. Ou ce nouvel invité de 8h30, chargé d'apporter des bonnes nouvelles.
France Bleu Roussillon est l'antenne locale de France Bleu pour le département des Pyrénées-Orientales depuis 26 ans et donc depuis près de deux ans aussi à la TV. "Il faut faire des regards caméras. C’est une émission de radio à la télé," explique Sébastien Giraud.
Une offre extrêmement complémentaire
Christine Arribas, directrice France Bleu Roussillon
"Cela a d’abord été un projet. Et ça fait du bien, ça fédère les équipes. Elles étaient très enthousiastes d’aller vers ces matinales filmées," se souvient Christine Arribas. "Et puis il y a des gens qui ne nous écoutent pas. Mais certains regardent la télévision. Et j’ai le sentiment que pour ces personnes, une offre d’information locale a toute sa place à la télévision et c’est aussi le moyen pour nous de nous faire connaître et de peut-être les amener à mieux connaître France Bleu. Et puis il y a une envie d’une partie de nos auditeurs de voir les visages de ceux qui généralement restent dans l’ombre".
"Cela donne une offre extrêmement complémentaire, cela donne du choix aux habitants des PO, et c’est important d’avoir du choix".