La ministre de la Santé, accorde un sursis aux trois services de chirurgie cardiaque de Nîmes, Montpellier et Perpignan, visés par le schéma de réorganisation sanitaire. Une décision d'éventuelle fermeture de l'un d'entre eux ne sera prise qu'en 2016.
A la clinique privée des Franciscaines à Nîmes, dont les élus avaient défendu la cause à Paris, c'est le soulagement.
Le service de chirurgie cardiaque, menacé de disparition, a obtenu un sursis.
Le Ministère annonce un prolongement de l'activité jusqu'en juin 2016.
Elus et médecins ont deux ans devant eux pour garantir la pérennité de la chirurgie cardiaque aux Franciscaines.
Une solution est déjà à l'étude : un partenariat public-privé avec le CHU de Nîmes.
Un reportage d'Eric Félix et Valérie Banabéra