De nouvelles recherches aériennes devaient débuter ce lundi 14 mars au-dessus de Cagnac-les-Mines pour tenter de retrouver le corps de Delphine Jubillar, mais le vent violent empêche pour le moment les enquêteurs de déployer leurs drones.
Les drones de la gendarmerie auraient dû survoler Cagnac-les-Mines ce lundi 14 mars, mais pour l’heure ils sont cloués au sol à cause du vent.
Comme plusieurs département de la région, le Tarn est actuellement en alerte jaune « vent violent », au moins jusqu’à mardi matin, 6h. Si le vent restait relativement modéré en début de matinée à Cagnac-les-Mines, les rafales se sont renforcées en ce milieu de journée, rendant peu probable la sortie des drones de recherches pour le moment.
L’épisode météorologique devrait durer jusqu’à mercredi, une mauvaise nouvelle pour les enquêteurs qui devaient mener leur recherches aériennes de lundi à mercredi. Les recherches par drone devaient permettre de déceler des traces de terre retournée invisibles depuis le sol, afin de trouver un éventuel endroit où le corps de Delphine aurait été enterrée.
Les zones de recherches devaient se concentrer autour du chemin de Drignac, à proximité de la mystérieuse ferme brûlée qui avait déjà été au cœur de la précédente campagne de fouilles, non loin du domicile des Jubillar. Les drones devaient également survoler les alentours de la maison.
Pour rappel, Delphine Jubillar a disparu en décembre 2020 et son mari Cédric Jubillar est mis en examen depuis juin 2021 pour meurtre aggravé.