Peuplée de mystérieuses statues géantes, perdue au milieu du Pacifique, l'Ile de Pâque exporte lors de l'été 2018 ses multiples facettes au Muséum de Toulouse, au musée Fenaille de Rodez et au musée Champollion de Figeac, associés pour une exposition triptyque sur cette terre fantastique.
C'est l'une des dernières terres colonisées par l'Homme, vers l'An Mil.
L’île de Pâques, 165 km2 de terre perdue dans le Pacifique au large du Chili, fascine autant par sa situation que par les Moaï, ces statues géantes qui s'y dressent mystérieusement.
Elles n'ont jamais cessé de nourrir l’imaginaire collectif occidental alimentant les fantasmes et les récits les plus étranges.
Mais c’est aussi un territoire vivant, en pleine évolution qui livre quelques uns de ses secrets avec les avancées de la science.
Le Muséum d'Histoire Naturelle de Toulouse, le musée Fenaille de Rodez et le musée Champollion - Les Ecritures du Monde de Figeac se sont associés pour proposer pendant l’été 2018 trois expositions complémentaires qui rassembleront un ensemble unique d’objets issus des principales collections publiques et privées.
Chacun pourra découvrir les multiples facettes de cette île par le prisme des thèmes développés dans les différents lieux :
- l’univers fascinant des représentations sculptées au Musée Fenaille de Rodez.
- l’énigmatique écriture Rongorongo et les récits d’explorateurs au Musée Champollion deFigeac.
- l'histoire ancienne et contemporaine de l'île dans ses dimensions naturelles, culturelles et sociétales au Museum d'Histoire Naturelle de Toulouse.