2 ans après l'attentat de Nice, la question des indemnisations reste une question sensible

Depuis deux ans, le 14 juillet n'est plus seulement la date joyeuse de notre fête nationale. C'est aussi, malheureusement, celle de la triste commémoration de l'attentat de la Promenade des Anglais, à Nice. Avec, aujourd'hui encore, une question sensible, celle de l'indemnisation des victimes

Depuis deux ans, le 14 juillet n'est plus seulement la date joyeuse de notre fête nationale. C'est aussi, malheureusement, celle de la triste commémoration de l'attentat de la Promenade des Anglais, à Nice. Avec, aujourd'hui encore, une question sensible, celle de l'indemnisation des victimes.

C'est que la question est plus complexe qu'il n'y paraît. Elle touche à ce que certains spécialistes appellent "l'onde de choc" créée par un attentat.
Parmi les victimes, il y a ceux qui ont été touchés personnellement mais aussi leurs proches. Et pour certains avocats, le fond de garantie freinerait certaines demandes de proches de blessés. Comment catégoriser les proches, leurs souffrances et le montant de leur préjudice ?  Éléments de réponse avec Yohann Dorion et Mustapha Tafnil.

©France 3 Paris

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