Au delà des bilans sur l’agriculture et avant ceux du SIA 2015, et de sa fréquentation (le record du nombre de ventes de barbe à papa a explosé), on peut penser aux éditions à venir. Série de photos spéciale dédicace aux générations futures. Parce qu’au final, tout commence là !
Cela fait une semaine que l’on parle d’agriculture. Que l’on dresse les bilans. Que l’on évoque l’évolution de ce secteur depuis ces 40 dernières années, la progression manifeste des circuits courts, la 3è place européenne du bio ; que l’on vous accompagne dans la découverte ou la description de l’agroécologie. 10 jours que l’on se penche sur la filière, l’intrusion du web 2.0 dans les modes de fonctionnement et du machinisme agricole… Et bien sûr que l’on fait un focus sur l’avenir de cette filière. Avenir porteur car l’on sait, et on l’a encore vu cette fois, les perspectives sont bonnes. Les relations entre agriculteurs et consommateurs sont fortes. Autour d’un projet commun. D’une communauté de destin.
Clôturer en souriant
Mais comment finir cette dizaine sans sourire encore une fois, car le salon de l’agriculture est aussi une grande fête. Et si nous avons essayé de vous informer, nous avons tenté de vous distraire également. Cette fois, alors que le salon va fermer ses portes, nous décidons comme des sales gosses, d’aborder les prochaines éditions. Les SIA de 2016 et les suivants. Et nous avons trouvé comment parler d’avenir autrement… Une série photo à faire rosir les Sex Pistols avec « never mind the bollocks »… Notre photographe a repris sa quête dans les allées…50 nuances de "couilles"
Vous l’aurez compris, on vous propose une série sur les glandes génitales mâles que la langue française, riche de vocabulaire, dénomme également « couilles », « boules », « testicules », « roustons », « roubignolles », « valseuses, « joyeuses », « roupettes », « bijoux de famille », « précieuses », « balloches »…Comme un un quizz officieux. Qui est qui ? Professionnels s’abstenir, ce serait trop facile. Et pour les connaisseurs, il parait même que cela donne l’heure.
Bien sûr, il nous a semblé indispensable par précaution, de garder l’anonymat des sujets photographiés pour éviter toute identification possible ultérieure.
A l’année prochaine.