Le début de semaine est intense pour l'actu en Pays de la Loire en ce premier lundi de la rentrée. Nous vous parlerons normalement d'éolien en mer avec le parc de Saint-Nazaire qui fait grincer des dents et des Atsem qui se mobilisent pour de meilleures conditions de travail.
L'impact visuel des éoliennes en mer
Alors que le chantier du parc éolien offshore de Saint-Nazaire est terminé, la polémique enfle autour de l'impact visuel des éoliennes.
A Batz-sur-mer, commune la plus impactée, certains habitants dénoncent une pollution visuelle, d'autres se sont fait une raison.
Une file d'attente pour obtenir un rendez-vous chez le nouveau médecin à Evron, en Mayenne
Elle est devenue le symbole de la pénurie de médecins généralistes en France : la file d'attente devant le cabinet médical d'Evron en Mayenne ne désemplit pas depuis trois jours.
Un nouveau médecin traitant est attendu dans les prochains jours, mais il n'y aura pas de place pour tout le monde alors les habitants ont fait la queue.
La mobilisation des ATSEM à Nantes
En ce lundi de rentrée c'était journée nationale de mobilisation chez les Atsem. Trois syndicats ont appelé à la grève pour demander une revalorisation salariale et une meilleure reconnaissance des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles.
99% sont des femmes, elles sont employées par les mairies...Leurs missions est d'accueillir et accompagner les enfants au quotidien, de veiller notamment sur le bon déroulement des repas à la cantine... Elles se sont rassemblées ce lundi matin à Nantes.
Les arboriculteurs étranglés par la hausse des coûts de l’électricité
La facture d'électricité ne finit pas de grimper, avec les réductions de production en centrale nucléaire et la guerre en Ukraine le cours du Kilo Water a drastiquement augmenté : 94 euros il y a un an, 706 euros aujourd'hui. Dans le domaine agricole, certains professionnels craignent de fermer boutique.
Recycler ses eaux usées pour irriguer les cultures, le modèle vertueux de l'île de Noirmoutier
Depuis plus de quarante ans, l'Ile de Noirmoutier réutilise un tiers de ses eaux usées pour l'irrigation des cultures de pommes de terre. Une solution trouvée à l'époque pour faire face à la sécheresse. Un modèle d'avenir, face à l'urgence climatique.