Les restaurateurs et conservateurs archéologiques ont, entre leurs mains, les vestiges de notre passé. Ils sont rassemblés à Figanières dans le cadre d'un colloque organisé par le laboratoire de Recherche de Draguignan, référence mondiale dans le secteur et parrainé notamment par l'Unesco.
Reportage : Francis Malory, Alexandre Dequidt, Jimmy Juvigny
Restaurer un tableau, une sculpture, une oeuvre d'art ou une pièce archéologique n'est pas sans risque. Le projet Européen Joconda identifie les principaux risques auxquels sont soumis les professionnels de la Conservation et de la Restauration du patrimoine. Du 17 au 21 juin, un colloque international organisé par le laboratoire de Recherche, Restauration et Conservation Archéologique de Draguignan réunit une quinzaine d'organisations publiques et privées, Universités et organismes publics en charge de la santé et Sécurité au travail et les chercheurs de 24 pays différents (France, Suisse, Pologne, Hongrie, Espagne, Australie, Italie....); il aborde les principaux risques du métier et les moyens de s'en protéger. Le colloque international est parrainé par de nombreux organismes dont l'Unesco ou encore Maribor Capitale Européenne de la Culture.