Le vice-procureur a réclamé ce matin une peine de douze mois de prison ferme, assortie de 10 ans d'interdiction de gérer et de 10 000 euros d'amende à l'encontre de Michel Campanella, considéré comme une figure présumée du banditisme marseillais.
Michel Campanella comparaît depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Marseille pour "recel de favoritisme" dans le cadre de marchés supposés truqués.
Le vice-procureur a requis ce matin une peine de douze mois de prison ferme, assortie d'une amende de 10 000 euros et de dix ans d'interdiction de gérer.
Pour les autres prévenus, il a réclamé des peines de 6 à 18 mois de prison et des amendes de 10 000 à 50 000 euros.