En ce début d'après-midi la préfecture du Var a publié une alerte tsunami sur ses réseaux sociaux. Le message demandait à tout le monde de quitter le littoral et de se réfugier en hauteur. Il a créé un petit vent de panique. Ce n'était en fait qu'un exercice.
"Désolé pour l'émotion mais bravo pour la réactivité". Le community manager de la préfecture du Var s'excuse sous les messages un peu angoissés sur les réseaux sociaux.
Après avoir posté en ce début d'après-midi une alerte rouge Tsunami sur son Facebook et son Twitter, un petit vent de panique s'est mis en place.
Le message demandait à tout le monde d'évacuer le rivage dans la zone des 200 m, de se rendre à pied à un point haut immédiatement et d'écouter les consignes de sécurité ou la radio.
Ouf ! Ce n'était qu'un exercice. Mais voilà, la communication a mis quelques minutes à le préciser, faisant ainsi paniquer quelques lecteurs.
Un petit loupé vite corrigé. La préfecture nous indique qu'il s'agissait en fait d'un exercice interne. Les agents s'entraînent régulièrement à publier des messages réflexes pour alerter la population en cas de danger, et les posts ont été mis en ligne par erreur.
Un loupé qui a fait paniquer certains et sourire d'autres. Une petite piqûre de rappel au final. Grâce à ce message, désormais, vous savez quoi faire en cas d'alerte.
En 1979 un mini-tsunami avait provoqué un effondrement d'une partie de l'aéroport de Nice. Il avait causé la mort de neuf personnes.