Le député-maire de Nice met en cause l'impartialité d'un des juges qui nourrit des sentiments de haine à l'encontre de l'ancien président de la république.
Les réactions politiques sont nombreuses tous bords confondus, après la mise en examen de l'ancien chef de l'état UMP pour corruption active, trafic d'influence et recel de violation du secret professionnel dans le cadre d'une enquête sur un trafic d'influence présumé.
Interrogé sur France Info, Christian Estrosi, secrétaire général de l'Association des amis de Nicolas Sarkozy, s'est montré très virulent.
L'ex-ministre socialiste, Jérôme Cahuzac n'a pas été mis en garde à vue. Les affaires me semblaient autrement plus graves que les sous-entendus portés à l'encontre de Nicolas Sarkozy. Il y a des hommes politiques qui ont un traitement de faveur, d'autres qui ne l'ont pas". "Lorsque tout cela se fait sous la férule d'un juge qui a alimenté le mur des cons sur lequel je figure moi-même", "est-ce qu'il y a une véritable impartialité? Tout cela ne grandit pas l'image de la justice dans notre pays. Je mets en cause l'impartialité d'un des juges, qui est un juge engagé , qui a nourri des haines - je dis bien haines - contre le président qui fait l'objet de son instruction. Si certains souhaitaient qu'il ne revienne pas, ils ne font qu'encourager son retour.