Plus de 300 gallinacés ont échappé de justesse à l'abattage. Au lieu de finir en nuggets, elles vont être accueillies dans diverses structures associatives et chez des particuliers d'Île-de-France.
Des centaines de poules ont échappé à la mort grâce à l'action d'associations de défense des animaux. Plus de 300 arrivent à partir d'aujourd'hui dans les refuges d'associations et chez des particuliers d'Île-de-France.
2.400 volailles qui ne passeront pas à la casserole
2.400, c'est le nombre total de poules qui ne seront finalement pas abattues en ce début d'années. Les animaux, des poules pondeuses élevées en batterie c'est à dire dans de minuscules cages toute leur vie sans liberté de mouvement ou accès à la lumière du jour ont été rachetées par l'alliance de trois associations. Elles seront ensuite divisées selon leurs différents lieux d'accueil dans différentes régions.Plus de 300 d'entre elles sont arrivées aujourd'hui en Île-de-France.
Ferme pédagogique, refuge pour oiseaux et particuliers
En Île-de-France, c'est l'association Stéphane Lamart qui est montée au créneau pour la survie des poules. La répartition des gallinacés est prévue entre la Ferme pédagogique de la Butte Pinson à Montmagny qui en accueillera 300, la Société protectrice des oiseaux des villes de Châtillon et des particuliers qui se sont portés candidats à l'adoption.VOIR le reportage de Bruno Lopez :