Concernant le terrain à Calais où environ 4500 migrants sont présents, la candidate a admis en conférence de presse qu’elle ne pourrait pas faire grand chose s'il elle était élue à la tête de la région, étant donné que cette compétence n'est pas celle de la région.
Concernant le terrain à Calais où cohabitent au moins 4.500 personnes dans un camp aux conditions très précaires et dont la région est propriétaire, la dirigeante d'extrême droite a estimé qu’elle ne pourrait rien faire.
"Nous n'avons pas les forces de police à disposition, nous n'en avons pas la compétence et n'allons pas nous attribuer des compétences. C'est à l'Etat, encore une fois, de prendre ses responsabilités", a-t-elle affirmé.
"Ce problème de Calais ne peut se régler qu'au niveau national, en fermant les frontières et en renvoyant les clandestins dans leur pays d'origine", a-t-elle poursuivi, en admettant que la situation "ne se règlera pas spontanément".
Le Pen : "Nous n'avons pas les pouvoirs de police"