Après avoir visité l'entreprise de biotechnologie Oncodesign (société française spécialisée dans la découverte de médicaments et l'évaluation de thérapies anticancéreuses) lundi 11 mars, le chef de l'Etat s'est rendu chez Urgo mardi 12 mars 2013. 

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"Je veux lui montrer au cours de sa visite à Dijon qu'il y a des chefs d'entreprise qui innovent, qui créent de l'emploi, qui font de la recherche et du  développement, qui exportent", déclarait François Rebsamen au micro de France 3 Bourgogne, quelques instants avant l'arrivée du chef de l'Etat.  "Car, notre but, c'est montrer qu'il y a de l'espoir, qu'il faut agir, que rien n'est inéluctable et qu'il y a dans nos villes, nos département des gens qui agissent."

Le sénateur-maire PS de Dijon a donc choisi d'emmener le président de la République à Oncodesign. Cette société travaille pour quelque 500 clients répartis dans 21 pays. L'entreprise a vu le jour en 1995. Elle emploie aujourd'hui 65 personnes et investit 1 million d'euros en recherche et développement chaque année.

Le reportage de Maryline Barate et Christophe Gaillard avec l'interview de Philippe Genne, PDG d'Oncodesign:


Sur place, François Hollande a lancé un "appel à la mobilisation". Il a réaffirmé son objectif "d'inverser la courbe du chômage" à la fin de l'année et il a déclaré sur un ton volontariste que la France avait la capacité de "gagner", de "réussir".




Des entreprises confrontées à des lourdeurs bureaucratiques

Demain, mardi 12 mars, François Hollande visitera un autre fleuron de l'industrie française, les laboratoires Urgo, qui se sont imposés comme numéro trois européen du pansement. L'entreprise emploie 700 personnes dans l'agglomération dijonnaise. 

Il y a quelques mois, François Rebsament avait interpellé le Premier ministre Jean-Marc Ayrault au sujet des difficultés rencontrées par Urgo. "Il y a des entreprises qui sont confrontées à des lourdeurs bureaucratiques dans notre pays. J'ai donné l'exemple d'Urgo qui n'arrive pas à obtenir une autorisation de mise sur le marché pour des pansements alors qu'ils sont en vente à l'étranger, en Allemagne, en Italie. C'est purement franco-français. Je suis pour qu'on allège toutes les contraintes bureaucratiques qui empêchent les entreprises d'avancer, d'innover, de créer de l'emploi, puisqu'il y a de l'emploi à la clé chez Urgo", avait déclaré François Rebsamen à France 3 Bourgogne, dans l'émission La Voix est libre du 22 septembre 2012.
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