Le tribunal de commerce de Grasse devait se prononcer, aujourd'hui, sur les offres de reprise de cette entreprise qui fabrique des conduits flexibles de ventilation. Finalement, il octroie un délai supplémentaire aux potentiels repreneurs. Délai qui court jusqu'au 12 mars.
A Joigny, les 53 salariés de Strulik devront encore patienter jusqu'au 12 mars pour connaître le sort qui les attend. En janvier dernier, Le tribunal de commerce de Grasse avait autorisé l'usine à poursuivre son activité pendant qu'il examinait les offres de reprise. Le sursis sera donc prolongé sans doute pour laisser un peu plus de temps aux repreneurs de finaliser leurs dossiers.
Même si l'attente est longue, sur place, les salariés gardent l'espoir de remonter la pente. Leur usine, rachetée il y a deux ans par une entreprise des Alpes-Maritimes, est confrontée à d'importantes difficultés financières.