Ce samedi 14 mars, l'Association Greenpeace, a organisé un "die-in" place François Rude à DIjon, pour rendre hommage aux victimes de la catastrophe de Fukushima. Le 11 mars 2011, le Japon était secoué par un séisme, puis un tsunami touchait la côte Est.
Rendre hommage aux victimes
Les militants ont simulé la mort, allongés par terre. Les gisants silencieux sont entourés par des "liquidateurs", des personnes portant des combinaison de protection.Il y a 4 ans se produisait une catastrophe nucléaire majeure à Fukushima au Japon. La centrale nucléaire avait été endommagée par le séisme, mais le tsunami avait paralysé les moyens de contrôle du réacteur.
Ce dernier avait commencé à s'élever en température, des fuites radioactives étaient apprues, entraînant une contamination de l'Océan Pacifique et de la chaîne alimentaire. La radioactivité continue de détériorer l'envirionnement, et entraîne une souffrance humaine.
54000 décharges à ciel ouvert de déchets radioactifs sont dispersées autour du site de la centrale, dans des jardins, des parkings ou des parcs.
25 ans après Tchernobyl, alerter sur les dangers du Nucléaire
Greenpeace a tenu aussi par cette action à sensibiliser les citoyens aux dangers du nucléaire et à la vétusté des centrales nucléaires françaises.L'interview de Lydie Jean-Dit-Pannel, représentante Greenpeace du groupe local de Dijon
4 ans après la catastrophe de Fukushima au Japon, des militants écologistes manifestaient contre le nucléaire à Dijon.
Ils se sont allongés place François Rude en hommage aux victimes...
La situation reste préoccupante sur place avec 54 000 décharges à ciel ouvert dispersées autour de la centrale selon Greenpeace.
L'association solidaire des habitants même à des milliers de kilomètres de là.
Interview de Lydie Jean-Dit Pannel