"La révolte des innocents" a été tourné début 2018 dans l'Yonne. Une avant-première a eu lieu à Avallon le 16 octobre. Ce téléfilm est diffusé mardi 20 novembre 2018 sur France 3. Il s'inspire de l'affaire des Vermiraux, une institution éducative qui n'était autre qu'un bagne pour enfants.
France 3 a choisi de diffuser La Révolte des Innocents mardi 20 novembre 2018, à 21 heures, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l’enfant.
Une histoire vraie qui s'est passée dans l'Yonne
Le téléfilm "La révolte des innocents" soutenu par la région, a été tourné au début de l'année 2018 dans l'Yonne. Il s'inspire de l'affaire des Vermiraux, tristement célèbre pour avoir été un bagne pour enfants. Ses responsables ont été jugés et condamnés, c'était une première judiciaire en 1911.
Dans le rôle des "Thénardier" morvandiaux, Bruno Debrandt et Julie Ferrier. L'actrice, accompagnée de l'équipe du film, était présente à l'avant-première qui a eu lieu à Avallon le 16 octobre. Les trois cents figurants étaient invités. La salle était debout à la fin de la projection.
Reportage : Anne Berger, Dalila Iberrakene
Avec : Julie Ferrier, "Madame Soliveau"
Philippe Niang, réalisateur
Noah Branchereau, figurant
Antonin Poisson, figurant
Patrick Vignolles, figurant
Programme TV - La révolte des innocents (France 3) : Julie Ferrier et Bruno Debrandt en méchants éducateurs - News Télé 7 Jours
— France3ServicePresse (@France3Presse) 20 novembre 2018
https://t.co/J9CRwlUv2h via @Tele7
La révolte des innocents
En 1911, Louise Perreau élève seule son fils Gaston, un enfant turbulent. Elle espère pouvoir trouver un nouvel équilibre de vie en allant travailler à Paris. Pour cela, elle est contrainte de placer Gaston aux Vermiraux, un établissement censé offrir une bonne éducation au garçonnet.
Ce que Louise ignore c'est que le centre - qui est présenté comme un sanatorium - est, en réalité, un lieu où les enfants sont maltraités et exploités. Un jour, une révolte éclate dans l'établissement. Le jeune juge Emile Guidon lance une procédure contre les meneurs de la rébellion, mais aussi contre Armand Sandrin et Joséphine Poliveau, les gérants de l'institution.