Un mois après les actes de vandalisme qui avaient touché la permanence du député socialiste Laurent Grandguillaume, en marge d'une manifestation contre la loi travail, le Chef de l'Etat a fait parvenir une lettre où il fustige ces dégradations.
Dans son courrier, François Hollande condamne fermement "ces violences qui ciblent des élus de la République". Puis le Président ajoute "Si chacun dans notre pays a le droit de manifester et d'exprimer ses opinions librement, l'utilisation de la violence n'est jamais légitime." Il affirme par ailleurs son soutien au député et promet "la plus grande fermeté" dans la réponse que l'Etat donnera à ces actes.