C'était le 25 mars, mais vous ne nous en voudrez pas, c'était la journée mondiale de la procrastination... Du coup, c'est aujourd'hui que nous avons posé la question aux Bourguignons : qu'est ce que vous remettez toujours au lendemain?
Je me suis levée ce matin, nous étions le 26 mars et oups... Le papier n'était toujours pas publié... J'ai procrastiné, mais j'étais dans le thème de la journée d'hier. Oui, le 25 mars, c'était la journée mondiale de la procrastination. Alors certes, nous arrivons un peu tard, mais je n'étais pas la seule...
J’avais l’intention de tweeter hier pour la journée mondiale de la procrastination, mais j’ai repoussé à aujourd’hui.
— Madarjeen 🏳️🌈🏳️🌈 (@Madarjeen) March 26, 2024
Et si vous êtes comme moi, vous êtes des habitués de ces phrases : "Oh non... J'ai la flemme...", "Dis chéri, ça te dit qu'on le fasse demain ?", "Allez, on se met un petit film, le repassage peut attendre !"... Oui, vous procrastinez, mais bon, rassurons-nous...
Selon une étude que nous avons trouvée à des milliers de kilomètres de chez nous, à l'Université Depaul de Chicago, 20 % de la population souffrirait de procrastination chronique. Soit, nous n'en sommes pas tous à ce stade, mais nous avons tous nos petites bêtes noires...
Administratif, rendez-vous médicaux, ménage... A vos réponses :
Et dans la catégorie administrative, nous appelons : "Les impôts... toujours au dernier moment", lance Katia en commentaire.
Il y a aussi la catégorie : ce serait super que les rendez-vous médicaux se prennent tout seuls sans décrocher le téléphone :
"Les prises de rendez-vous médicaux... Pourtant simple comme un clic ou un coup de fil, mais je repousse toujours et bien plus loin qu'au lendemain !", lance Lucie en commentaire.
Mon rendez-vous chez le médecin et le repassage
Simone
Vous venez de me rappeler que ça fait six mois que je dois prendre rendez-vous chez le dentiste...
Et ceux qui nous expliquent qu'ils ont hésité à nous raconter leur anecdote :
"Ce serait bien que je vous réponde, j'aimerais bien, d'ailleurs il faudrait que je le fasse mais c'est pas le moment et puis j'ai d'autres choses à faire, mais rassurez-vous j'y pense et je le ferai, peut-être tout à l'heure, peut-être demain. Si c'est trop tard? Tant pis mais quand même ce serait bien. Si je ne le fais pas, c'est quoi le risque? Bon je vais réfléchir et si ça doit se faire, ça se fera. Voilà ma tendance à la procrastination : le dilemme entre contrainte et liberté d'action.", lance Hélène.
Pour le coup, ce commentaire arrivait à l'heure, pas comme mon article...Allez, on a assez plaisanté surtout qu'il faut se remettre au travail. On est le 26 mars quand même...