Le parquet national financier (PNF) a demandé début janvier que huit protagonistes de l'affaire des soupçons de matches arrangés en Ligue 2 en 2014 soient jugés. En cause notamment, un soupçon de match truqué pesant sur le Dijon-Nîmes remporté 5-1 par les Bourguignons.
Le parquet a demandé que huit protagonistes de l'affaire des soupçons de matches arrangés en Ligue 2 en 2014 soient soient jugés dont le président du club de Caen (L1) Jean-François Fortin et les anciens patrons de Nîmes (L2).
Six matches de Nîmes en fin de saison 2013-2014 sont dans le viseur de la justice: contre Bastia (1-1), Dijon (défaite 5-1), Brest (1-1), Laval (victoire 2-1), Caen (1-1) et Créteil (1-1).
L'ancien dirigeant de club et entrepreneur Michel Moulin, soupçonné d'être intervenu sur le match contre Dijon, ce qu'il réfute, et l'ancien joueur Michel Milojevic, contacté par Franck Toutoundjian pour le match à Brest, sont aussi visés pour association de malfaiteurs.