Le tribunal de commerce de Besançon a retenu la seconde proposition : 4 cadres de la maison horlogère Péquignet reprendront l'affaire. Ils garderont 16 des 38 salariés.
Le tribunal de commerce de Besançon s'est prononcé à 15h. Deux offres de reprise étaient à l'étude. C'est la deuxième offre qui a été retenue.
Offre de reprise N°1 : elle a été retoquée
Ambre proposait d'actualiser les modèles. Voisine de Péquignet, elle proposait de reprendre 11 des 38 salariés et de regrouper les ateliers sur son propre site mortuacien. L'entreprise est dirigée par Pascal Bole, président de la chambre française de l'horlogerie et des microtechniques. Après le rachat des marques Yonger and Bresson et Yéma, Ambre proposait d'actualiser les modèles qui ont fait la renommée de Péquignet. Exit donc les brevets du calibre royal.
Offre de reprise N°2 : elle a été retenue
Des cadres souhaitaient concerver les activités de la maison : ils ont eu gain de cause. Ce sont trois commerciaux et un ingénieur. Ils comptent garder 16 salariés et conserveraient l'ensemble des activités de la maison. Cette dernière proposition reccueillait les faveurs du personnel.
L'interview de l'un des quatres repreneurs, Dani Royer.