Les nouveaux gestionnaires du Baskonia-Alaves semblent déterminés à réduire les coûts du club. Certains prestataires en font déjà les frais.
Au FC Sochaux, le Baskonia-Alaves a resserré les cordons de la bourse, et ça commence faire mal. La colère gronde chez les prestataires, inquiets du manque à gagner depuis que les nouveaux gestionnaires espagnols ont mis en place un plan de réduction des coûts.
Chez Est sécurité, une société basée à Montbéliard, les contrats avec le club, renouvellés chaque année, n'ont toujours pas été reconduits cette année. Or, la saison démarre dans quelques jours. Pour le PDG, Gabriel Rochhi, la situation est urgente.
Il n'est en tout cas pas le seul à s'inquiéter : la société Parc et sport, basée près de Lyon, employait cinq jardiniers pour l'entretien de la pelouse du stade et celle du centre de formation. La voilà mise de côté, au profit de jardiniers espagnols et argentins.
C'est le cas également pour Pierre Schlatter, emblématique Monsieur sécurité du FC Sochaux, remercié après 19 ans de service.
Pour tous, il va falloir rebondir, et s'accomoder de la cure d'austérité imposée par le club. Vanessa Hirson et Denis Colle les ont rencontrés :