Dix mois après les attentats de janvier, plusieurs attaques ont eu lieu à Paris vendredi 13 novembre 2015 dans la soirée. L'état d'urgence est déclaré dans toute la France. La Bourgogne déplore cinq victimes.

 

Un bilan très lourd

Selon le tout premier bilan de la préfecture de police de Paris, les attaques commises dans la nuit du 13 novembre 2015 ont fait plus d'une centaine de morts. La section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête. Un conseil des ministres exceptionnel a eu lieu vers minuit à l’Elysée. 

SUIVEZ LA SITUATION EN DIRECT 

Il y a plusieurs dizaines de morts

  • Trois personnes ont été tuées dans des explosions dans le secteur du Stade de France, où se déroulait un match amical France-Allemagne auquel assistait le président François Hollande, qui a été évacué.

  • Peu après 22h30, la préfecture de police a dénombré six fusillades dans Paris : dans le secteur du Bataclan (XIe arrondissement) et rue de Charonne (XIe arrondissement)", des quartiers animés du centre de Paris. De nombreuses personnes sont mortes à la salle de spectacle du Bataclan, également dans le centre de Paris, où une prise d'otages a eu lieu.

En Bourgogne, plusieurs élus ont aussitôt réagi



François Sauvadet, député UDI et président du conseil départemental de Côte-d’Or, s’est dit horrifié par les événements en cours à Paris et a annoncé qu’il interrompait ses "actions liées à la campagne régionale en BFC", où il mène la liste de l’union de la droite et du centre droit.



L’eurodéputé et conseiller régional de Saône-et-Loire Arnaud Danjean (Les Républicains) a dit son "effroi total mais malheureusement pas une surprise". Dans un tweet, il rappelle qu’il y a un an jour pour jour, la loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme était promulguée.



"Soyons tous en pensée auprès des victimes de la barbarie" a twitté le sénateur de Côte-d'Or Alain Houpert.












Chez les socialistes, le sénateur de Saône-et-Loire Jérôme Durain se dit effaré et consterné après ces fusillades.



De son côté, Safia Otokore, vice-présidente du conseil régional de Bourgogne, parle de “tristesse et colère”. 
L'actualité "Faits divers" vous intéresse ? Continuez votre exploration et découvrez d'autres thématiques dans notre newsletter quotidienne.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
Bourgogne-Franche-Comté
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité