Lors de l'enregistrement de notre émission politique "Dimanche en politique" sur le thème de la fusion Alstom-Siemens, Éric Alauzet a annoncé que des garanties supplémentaires avaient été obtenues dans le dossier Alstom. Extrait.
Il y a un an, l'usine Alstom de Belfort était condamnée, puis sauvée. Aujourd'hui, l'entreprise française et son concurrent allemand Siemens entâment une fusion qui fait couler beaucoup d'encre. De nombreux élus pointent du doigt le déséquilibre de cet accord, aux profits des Allemands. Ian Boucard, député Les Républicains du Territoire de Belfort, a d'ailleurs interpellé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, le 4 octobre, lors des questions au gouvernement.
Ce vendredi, Éric Alauzet, député "La République en Marche" du Doubs, et Ian Boucard étaient présents sur notre plateau pour l'enregistrement de l'émission "Dimanche en politique" (Avec également Philippe Pillot, délégué FO du groupe Asltom). Le député LREM a assuré que des garanties supplémentaires avaient été annoncées par Bruno Le Maire, en charge de diriger le futur “comité national de suivi” Alstom-Siemens. Le ministre de l'Economie donné ces précisions quand il a rencontré, après les questions au gouvernement, la commission des Affaires économiques. En effet, 3 experts indépendants français siègeront au conseil d'administration d'Alstom-Siemens et disposeront d'un droit de veto sur les décisions stratégiques du groupe.
Découvrez un extrait de notre émission politique "Mariage Alstom-Siemens : pour le meilleur ou pour le pire ?", diffusée ce dimanche à 11 heures 25 sur France 3 Franche-Comté :