Mercredi 10 février, trois organisateurs de la rave-party sauvage qui s'est tenue sur l'ancien site du CNRS de Garchy (Nièvre) à l'occasion du nouvel an seront poursuivis devant le tribunal de police de Nevers.
Les organisateurs poursuivis
Trois organisateurs ont été poursuivis pour "organisation sans préalable d'un rassemblement festif à caractère musical avec diffusion de musique amplifiée dans un espace non aménagé".La rave-party n'était pas autorisée, et les forces de Gendarmerie ont effectué des contrôles aux abords du site, limitant ainsi le nombre de participants.
Par ailleurs, le matériel de sonorisation et groupes électrogènes a été saisi.
Limitation du nombre de participants
L'opération de Gendarmerie de grande ampleur a permis de limiter le nombre de participants à 3500 sur 4 jours, alors que les organisateurs attendaient 10 000 participants.Moyens de sécurité et de secours mobilisés
La Préfecture de la Nièvre avait mis en place un dispositif de contrôle et aussi la Croix-Rouge était présente, pour assurer une antenne médicale.Il y a eu 63 interventions sanitaires.
Après les contrôles de sécurité, plusieurs procédures ont été engagés : notamment 8 pour détention d'armes blanches et 45 pour détention de stupéfiants.
Le reportage de Régis Guillon et Tania Gomes
Intervenants :- Agnès Bonjean, Directrice de cabinet du Préfet de la Nièvre
- Par téléphone depuis Montpellier, Rémy Ciceron, Mis en cause dans l'organisation illégale de la Free Party de Garchy
Le parquet de Nevers engage des poursuites à l'encontre des 3 organisateurs de la rave party non autorisée qui a eu lieu sur des terrains privés de Garchy et de Suilly-la-Tour !
Jusqu'à 3500 personnes ont participé à ce tecknival entre le 30 décembre et hier.
D'importants moyens de sécurité et de secours ont dû être mobilisés.
Il y a eu 63 interventions sanitaires .
Après les contrôles, plusieurs procédures ont été engagés : notamment 8 pour détention d'armes blanches et 45 pour détention de stupéfiants.
Les 3 organisateurs comparaitront le 10 février devant le tribunal de police de Nevers.