La député européenne du Modem regrette la décision d'ArcelorMittal de retirer le projet Ulcos qui aurait pu être financé par des fonds européens.
Elle est en colère et elle ne mâche pas ses mots la députée européenne Nathalie Griesbeck après la décision, qu'elle qualifie de "cynique" du sidérurgiste mondial de retirer sa demande de financement européen pour le Projet Ulcos au motif qu'il n'était pas abouti techniquement.
"Je me bats depuis 20 mois pour qu'Ulcos soit prioritaire" explique la mosellane, "et ça aurait pu marquer le premier jalon d'une politique industrielle communautaire sur la sidérurgie."